Titre : |
Le grand huit |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Thierry Vimal, Auteur |
Editeur : |
Paris : Editions de l'Olivier |
Année de publication : |
1999 |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-87929-325-7 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
On aurait voulu adorer ces pages pour lecteurs avertis ajustées tant bien que mal. Rien n'y fait pourtant : l'intensité des trips divers de l'auteur, la facilité de lecture et l'intérêt ethnologique ne compensent pas le vide sidéral tenant lieu de moteur à cette entreprise. Même la tentative de tape à l'oeil épate-bourgeois et les rapprochements avec tous les Trainspotting du monde n'y peuvent rien : Le Grand Huit est aussi vain que les kilos de coke et d'ecsta ingurgités par notre héros Thierry et ses amis. Gentiment autobiographiques, ces 250 pages rendent compte de cette fièvre des années quatre-vingt-dix inoculée par la techno (que nos amis n'approchent que de loin) et la drogue de synthèse. Ce petit roman facile décrit les errances d'un groupe d'amis amateurs de substances diverses, traînant en rave ou en club pour s'y fournir. Où ceux qui ne le savaient pas découvriront que pour se persuader de ne pas être client d'un produit exclusif, il est loisible de surfer sur un éventail de substances consommées l'une après l'autre, l'alcool préparant l'ecsta coupé à l'acide dont la descente sera compensée à grandes rafales de coke. Pour dormir après tout ça ? Lexomil bien sûr. Complètement dépassés évidemment, victimes de la schizoïdie frappant tous les perdus des drogues trop puissantes non gérées parce que mal consommées, l'auteur de cet opuscule hermétique et ses amis sont embarqués dans un grand huit toxique dont l'issue est le mur vers lequel on les lit se précipiter. Bon... Acid Test, il n'y a que ça ! --Florian Pittion |
Le grand huit [texte imprimé] / Thierry Vimal, Auteur . - Paris : Editions de l'Olivier, 1999. ISBN : 978-2-87929-325-7 Langues : Français ( fre)
Résumé : |
On aurait voulu adorer ces pages pour lecteurs avertis ajustées tant bien que mal. Rien n'y fait pourtant : l'intensité des trips divers de l'auteur, la facilité de lecture et l'intérêt ethnologique ne compensent pas le vide sidéral tenant lieu de moteur à cette entreprise. Même la tentative de tape à l'oeil épate-bourgeois et les rapprochements avec tous les Trainspotting du monde n'y peuvent rien : Le Grand Huit est aussi vain que les kilos de coke et d'ecsta ingurgités par notre héros Thierry et ses amis. Gentiment autobiographiques, ces 250 pages rendent compte de cette fièvre des années quatre-vingt-dix inoculée par la techno (que nos amis n'approchent que de loin) et la drogue de synthèse. Ce petit roman facile décrit les errances d'un groupe d'amis amateurs de substances diverses, traînant en rave ou en club pour s'y fournir. Où ceux qui ne le savaient pas découvriront que pour se persuader de ne pas être client d'un produit exclusif, il est loisible de surfer sur un éventail de substances consommées l'une après l'autre, l'alcool préparant l'ecsta coupé à l'acide dont la descente sera compensée à grandes rafales de coke. Pour dormir après tout ça ? Lexomil bien sûr. Complètement dépassés évidemment, victimes de la schizoïdie frappant tous les perdus des drogues trop puissantes non gérées parce que mal consommées, l'auteur de cet opuscule hermétique et ses amis sont embarqués dans un grand huit toxique dont l'issue est le mur vers lequel on les lit se précipiter. Bon... Acid Test, il n'y a que ça ! --Florian Pittion |
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