Titre de série : |
Belem, 1 |
Titre : |
Le temps des naufrageurs |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Jean-Yves Delitte, Auteur |
Editeur : |
Grenoble : Glénat |
Année de publication : |
DL 2006 |
Importance : |
47 p. |
Présentation : |
ill. en coul., couv. ill. en coul. |
Format : |
32 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-35357-006-5 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Navigation Histoire marine |
Index. décimale : |
741.5 |
Résumé : |
Le 31 juillet 1896, le Belem, propriété de l'armateur Fernand Crouan, quitte les chantiers de Saint-Nazaire et met le cap Montevideo pour le compte de la chocolaterie Meunier. Il y parvient cinquante jours plus tard avec à son bord douze hommes d'équipage, le pilotin et le capitaine Lemerle dont c'est le dernier voyage avant la retraite. Un incendie à bord provoque la révolte de l'équipage qui doit affronter l'intransigeance du vieux capitaine. C'est à la suite de négociations houleuses que le navire finit par revenir à Nantes le 26 janvier 1987, après 46 jours dune traversée difficile. Du moins c'est ce que nous savons, car il apparaît que la réalité serait tout autre ! |
Belem, 1. Le temps des naufrageurs [texte imprimé] / Jean-Yves Delitte, Auteur . - Grenoble : Glénat, DL 2006 . - 47 p. : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 32 cm. ISBN : 978-2-35357-006-5 Langues : Français ( fre)
Mots-clés : |
Navigation Histoire marine |
Index. décimale : |
741.5 |
Résumé : |
Le 31 juillet 1896, le Belem, propriété de l'armateur Fernand Crouan, quitte les chantiers de Saint-Nazaire et met le cap Montevideo pour le compte de la chocolaterie Meunier. Il y parvient cinquante jours plus tard avec à son bord douze hommes d'équipage, le pilotin et le capitaine Lemerle dont c'est le dernier voyage avant la retraite. Un incendie à bord provoque la révolte de l'équipage qui doit affronter l'intransigeance du vieux capitaine. C'est à la suite de négociations houleuses que le navire finit par revenir à Nantes le 26 janvier 1987, après 46 jours dune traversée difficile. Du moins c'est ce que nous savons, car il apparaît que la réalité serait tout autre ! |
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