Titre : |
Les amants de Coyoacan |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Gérard de Cortanze, Auteur |
Editeur : |
Paris : Albin Michel |
Année de publication : |
2015 |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-253-07085-6 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
1937. Après 9 ans de mariage, le couple Frida Kahlo/Diego Rivera bat de l’aile. Aux infidélités de Diego répondent celles de la jeune femme, qui n’est pas heureuse et commence à boire. Pourtant un événement va bouleverser sa vie : l’installation au Mexique de Trotski et de sa femme Natalia, qui viennent de se voir enfin accorder l’asile politique. Diego et Frida les accueillent à la Casa Azul et très vite une amitié s’installe. Mais, par jeu ou besoin de mesurer son pouvoir de séduction, Frida décide de séduire le vieux révolutionnaire. Délaissant la rédaction de ses discours, sa biographie de Lénine, affolant ses gardes du corps, il glisse des billets enfiévrés dans les livres qu’il offre à Frida, lui donne des rendez-vous secrets, lui parle en anglais (que sa femme ne comprend pas), escalade le mur de sa maison, s’enfuit avec elle dans l’hacienda de San Miguel Regla. Plus qu’une idylle, une passion dévorante naît entre les deux et Frida sera le dernier grand amour de Léon Trotski. Bien des années plus tard, elle confiera à une amie que leur rencontre fut l’«une des meilleures choses qui lui soit arrivée» et que cette période fut l’une des plus fécondes de sa vie de peintre. |
Les amants de Coyoacan [texte imprimé] / Gérard de Cortanze, Auteur . - Paris : Albin Michel, 2015. ISBN : 978-2-253-07085-6 Langues : Français ( fre)
Résumé : |
1937. Après 9 ans de mariage, le couple Frida Kahlo/Diego Rivera bat de l’aile. Aux infidélités de Diego répondent celles de la jeune femme, qui n’est pas heureuse et commence à boire. Pourtant un événement va bouleverser sa vie : l’installation au Mexique de Trotski et de sa femme Natalia, qui viennent de se voir enfin accorder l’asile politique. Diego et Frida les accueillent à la Casa Azul et très vite une amitié s’installe. Mais, par jeu ou besoin de mesurer son pouvoir de séduction, Frida décide de séduire le vieux révolutionnaire. Délaissant la rédaction de ses discours, sa biographie de Lénine, affolant ses gardes du corps, il glisse des billets enfiévrés dans les livres qu’il offre à Frida, lui donne des rendez-vous secrets, lui parle en anglais (que sa femme ne comprend pas), escalade le mur de sa maison, s’enfuit avec elle dans l’hacienda de San Miguel Regla. Plus qu’une idylle, une passion dévorante naît entre les deux et Frida sera le dernier grand amour de Léon Trotski. Bien des années plus tard, elle confiera à une amie que leur rencontre fut l’«une des meilleures choses qui lui soit arrivée» et que cette période fut l’une des plus fécondes de sa vie de peintre. |
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