Titre : |
Chronique d'une mort annoncée |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Gabriel Garcia Marquez (1927-....), Auteur |
Editeur : |
[Paris] : le Livre de poche |
Année de publication : |
1981 |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-253-04397-3 |
Langues : |
Français (fre) Langues originales : Espagnol (spa) |
Résumé : |
Sur la silhouette de Santiago Nasar s'est penchée la figure grimaçante de la mort. Qui n'a pas entendu, de la bouche même des assassins en puissance, les frères Vicario, le désir ardent de laver dans le sang l'honneur bafoué de la famille ? Nombreux sont ceux - les amis, la famille, les criminels eux-mêmes - qui tenteront de déjouer ce que le narrateur, enquêteur minutieux, affirme comme inéluctable dès les premières pages...
Mais sur ce bout de terre tropicale, rien ne semble capable de fléchir l'axe effilé du destin. Récit bref, l'histoire se déroule en cercles concentriques sous la forme d'une spirale infernale qui précipite la victime vers sa fin, connue de tous, qu'il soit acteur ou lecteur. L'écrivain colombien, par cette construction ingénieuse, développe avec humour et imagination - annonçant l'explosion lyrique et stylistique de Cent ans de solitude - le thème de la fatalité.
Une fatalité décrite par Gabriel Garcia Marquez comme l'émanation concrète, émancipée au-delà du concept, d'une population aux règles ancestrales et à la destinée pétrifiée. --Hector Chavez |
Chronique d'une mort annoncée [texte imprimé] / Gabriel Garcia Marquez (1927-....), Auteur . - [Paris] : le Livre de poche, 1981. ISBN : 978-2-253-04397-3 Langues : Français ( fre) Langues originales : Espagnol ( spa)
Résumé : |
Sur la silhouette de Santiago Nasar s'est penchée la figure grimaçante de la mort. Qui n'a pas entendu, de la bouche même des assassins en puissance, les frères Vicario, le désir ardent de laver dans le sang l'honneur bafoué de la famille ? Nombreux sont ceux - les amis, la famille, les criminels eux-mêmes - qui tenteront de déjouer ce que le narrateur, enquêteur minutieux, affirme comme inéluctable dès les premières pages...
Mais sur ce bout de terre tropicale, rien ne semble capable de fléchir l'axe effilé du destin. Récit bref, l'histoire se déroule en cercles concentriques sous la forme d'une spirale infernale qui précipite la victime vers sa fin, connue de tous, qu'il soit acteur ou lecteur. L'écrivain colombien, par cette construction ingénieuse, développe avec humour et imagination - annonçant l'explosion lyrique et stylistique de Cent ans de solitude - le thème de la fatalité.
Une fatalité décrite par Gabriel Garcia Marquez comme l'émanation concrète, émancipée au-delà du concept, d'une population aux règles ancestrales et à la destinée pétrifiée. --Hector Chavez |
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