| Titre : |
Après la fin du monde : critique de la raison apocalyptique : |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Michaël Foessel (1974-....), Auteur |
| Editeur : |
[Paris] : Ed. du Seuil |
| Année de publication : |
2012 |
| Collection : |
ordre philosophique (L') |
| Importance : |
294 p. |
| Format : |
21 cm |
| ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-02-105367-8 |
| Prix : |
23 EUR |
| Note générale : |
Index |
| Langues : |
Français (fre) |
| Catégories : |
Fin du monde -- Philosophie
Finalité
|
| Index. décimale : |
124 |
| Résumé : |
Notre temps est, dit-on, celui des catastrophes. Sur les nouveaux fronts de l'écologie, du changement climatique ou de la menace nucléaire, les idéologies du progrès ont cédé la place à l'angoisse.Michaël Foessel interprète les peurs apocalyptiques actuelles à partir des expériences contemporaines où les sujets se sentent dépossédés du monde : triomphe de la technique sur l'action, du capital sur le travail, du besoin sur le désir. Il propose une généalogie de l'idée de '' fin du monde '' qui distingue deux voies de la modernité : celle qui privilégie la vie et sa conservation, aujourd'hui à l'oeuvre dans la plupart des conceptions écologiques; celle qui fait du monde le thème principal de la philosophie en même temps qu'un enjeu politique de premier ordre. |
Après la fin du monde : critique de la raison apocalyptique : [texte imprimé] / Michaël Foessel (1974-....), Auteur . - [Paris] : Ed. du Seuil, 2012 . - 294 p. ; 21 cm. - ( ordre philosophique (L')) . ISBN : 978-2-02-105367-8 : 23 EUR Index Langues : Français ( fre)
| Catégories : |
Fin du monde -- Philosophie
Finalité
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| Index. décimale : |
124 |
| Résumé : |
Notre temps est, dit-on, celui des catastrophes. Sur les nouveaux fronts de l'écologie, du changement climatique ou de la menace nucléaire, les idéologies du progrès ont cédé la place à l'angoisse.Michaël Foessel interprète les peurs apocalyptiques actuelles à partir des expériences contemporaines où les sujets se sentent dépossédés du monde : triomphe de la technique sur l'action, du capital sur le travail, du besoin sur le désir. Il propose une généalogie de l'idée de '' fin du monde '' qui distingue deux voies de la modernité : celle qui privilégie la vie et sa conservation, aujourd'hui à l'oeuvre dans la plupart des conceptions écologiques; celle qui fait du monde le thème principal de la philosophie en même temps qu'un enjeu politique de premier ordre. |
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