Titre de série : |
Les Tuniques bleues., 60 |
Titre : |
Carte blanche pour un bleu |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Willy Lambil (1936-....), Illustrateur ; Raoul Cauvin (1938-....), Auteur |
Editeur : |
Marcinelle (Belgique) : Dupuis |
Année de publication : |
2016 |
Collection : |
Les Tuniques bleues num. n° 60 |
Importance : |
46 p. |
Présentation : |
ill. en coul., couv. ill. en coul. |
Format : |
30 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-8001-6273-7 |
Prix : |
10,60 EUR |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
À la suite d'une sanglante bataille n'ayant laissé que peu de survivants dans le 22e de cavalerie, le sergent Chesterfield a totalement perdu conscience. Sourd, muet, le regard vide, assis sans bouger sur un fauteuil roulant, il ne semble pas plus vivant qu'une courgette. À tel point que le haut commandement pense à s'en débarrasser. Mais que pourrait-il faire dans un tel état ? Le caporal Blutch, camarade loyal, prend sa défense face à l'état-major et obtient carte blanche pour tenter de ramener à la vie son supérieur. Il a trente jours, pas un de plus, pour essayer désespérément et par tous les moyens de faire réagir le sergent. |
Les Tuniques bleues., 60. Carte blanche pour un bleu [texte imprimé] / Willy Lambil (1936-....), Illustrateur ; Raoul Cauvin (1938-....), Auteur . - Marcinelle (Belgique) : Dupuis, 2016 . - 46 p. : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 30 cm. - ( Les Tuniques bleues; n° 60) . ISBN : 978-2-8001-6273-7 : 10,60 EUR Langues : Français ( fre)
Résumé : |
À la suite d'une sanglante bataille n'ayant laissé que peu de survivants dans le 22e de cavalerie, le sergent Chesterfield a totalement perdu conscience. Sourd, muet, le regard vide, assis sans bouger sur un fauteuil roulant, il ne semble pas plus vivant qu'une courgette. À tel point que le haut commandement pense à s'en débarrasser. Mais que pourrait-il faire dans un tel état ? Le caporal Blutch, camarade loyal, prend sa défense face à l'état-major et obtient carte blanche pour tenter de ramener à la vie son supérieur. Il a trente jours, pas un de plus, pour essayer désespérément et par tous les moyens de faire réagir le sergent. |
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