Titre : |
Hugo de la nuit |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Bertrand Santini (1968-....), Auteur |
Editeur : |
[Paris] : Grasset-jeunesse |
Année de publication : |
2016 |
Importance : |
213 p. |
Format : |
21 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-246-86025-9 |
Prix : |
13,50 EUR |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Morts Fantômes Nuit |
Index. décimale : |
843 |
Résumé : |
« L’oncle d’Hugo allait presser l’interrupteur de la lampe de chevet lorsque l’enfant le retint par la main. Attends. J’avais encore une question à te poser. Quoi donc ? sourit son oncle. Je me demandais. Tu penses qu’un mort, ça peut se déterrer tout seul ? Son oncle écarquilla les yeux pour souligner l’absurdité de la question. « L’enfer est vide. Tous les démons sont parmi nous », dit-il dans un souffle. Qu’est-ce que ça veut dire ? C’est du Shakespeare et cela signifie que les vivants sont plus à craindre que les morts. Hugo fronça les sourcils d’un air dubitatif. Et sur ce constat d’épouvante, conclut Oscar dans un large sourire, je te souhaite de beaux rêves ! D’un clic, il éteignit la lampe de chevet. Hugo entendit ses pas s’éloigner dans le noir. La porte se referma sans bruit. Maintenant, la nuit pouvait commencer». |
Hugo de la nuit [texte imprimé] / Bertrand Santini (1968-....), Auteur . - [Paris] : Grasset-jeunesse, 2016 . - 213 p. ; 21 cm. ISBN : 978-2-246-86025-9 : 13,50 EUR Langues : Français ( fre)
Mots-clés : |
Morts Fantômes Nuit |
Index. décimale : |
843 |
Résumé : |
« L’oncle d’Hugo allait presser l’interrupteur de la lampe de chevet lorsque l’enfant le retint par la main. Attends. J’avais encore une question à te poser. Quoi donc ? sourit son oncle. Je me demandais. Tu penses qu’un mort, ça peut se déterrer tout seul ? Son oncle écarquilla les yeux pour souligner l’absurdité de la question. « L’enfer est vide. Tous les démons sont parmi nous », dit-il dans un souffle. Qu’est-ce que ça veut dire ? C’est du Shakespeare et cela signifie que les vivants sont plus à craindre que les morts. Hugo fronça les sourcils d’un air dubitatif. Et sur ce constat d’épouvante, conclut Oscar dans un large sourire, je te souhaite de beaux rêves ! D’un clic, il éteignit la lampe de chevet. Hugo entendit ses pas s’éloigner dans le noir. La porte se referma sans bruit. Maintenant, la nuit pouvait commencer». |
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