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Empire gréco-romain (L') / Paul Veyne
Titre : Empire gréco-romain (L') Type de document : texte imprimé Auteurs : Paul Veyne (1930-....), Auteur Editeur : Paris : Ed. Points Année de publication : 2012 Collection : Points Sous-collection : Histoire num. H459 Importance : 1055 p.-[32] p. de pl. Présentation : ill. Format : 19 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7578-2781-9 Prix : 14,50 EUR Note générale : Recueil d'articles augmentés et remaniés précédemment publ. dans diverses revues, 2000-2004
IndexLangues : Français (fre) Catégories : Rome -- 30 av. J.-C.-476 (Empire)
Rome -- Civilisation -- Influence hellénistiqueIndex. décimale : 937.0 Résumé : Qu’est-ce qu’un empereur romain ? A quoi est due la fin de l’art antique ? Pourquoi des protestataires manifestaient-ils contre les dieux en cas de malheur ? Autant de questions parfois dérangeantes et toujours passionnantes que Paul Veyne développe avec passion dans ce qu’il avait, à l’origine, conçu comme une simple suite à La Société romaine. C’est devenu au fil du temps et des remaniements un livre autonome, où il ne tente rien moins que de donner une vision d’ensemble de ce qu’il appelle ''l’Empire gréco-romain''. Car l’Empire dit romain fut en réalité gréco-romain à au moins trois titres. D’abord par la langue. Certes, la langue véhiculaire qu’on pratiquait dans sa moitié occidentale était le latin, mais c’était le grec autour de la Méditerranée orientale et au Proche- Orient.
Ensuite, la culture matérielle et morale de Rome est issue d’un processus d’assimilation de cette civilisation hellénique qui, de ’Afghanistan au Maroc, était la culture ''mondiale'' du temps. Enfin, la culture y était hellénique et le pouvoir romain ;
c’est d’ailleurs pourquoi les Romains hellénisés ont pu continuer à se croire tout aussi romains qu’ils l’avaient toujours été. Paul Veyne part donc du principe que ce qui se passait de l'Ecosse à l’Euphrate a autant d’importance et d’intérêt pour comprendre ''Rome'' que ce qui se passait chez les Romains de Rome, et il tente suggérer, à coups d’aperçus partiels, une vision d’ensemble de l’Empire gréco-romain qui montre que la ''mondialisation'' actuelle devrait plutôt être appelée la ''seconde mondialisation'', puisque la première est précisément celle qui a produit cet Empire qui a dominé, pendant plus de 400 ans, une surface de terre ferme partagée aujourd’hui entre trente nations.Empire gréco-romain (L') [texte imprimé] / Paul Veyne (1930-....), Auteur . - Paris : Ed. Points, 2012 . - 1055 p.-[32] p. de pl. : ill. ; 19 cm. - (Points. Histoire; H459) .
ISBN : 978-2-7578-2781-9 : 14,50 EUR
Recueil d'articles augmentés et remaniés précédemment publ. dans diverses revues, 2000-2004
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Langues : Français (fre)
Catégories : Rome -- 30 av. J.-C.-476 (Empire)
Rome -- Civilisation -- Influence hellénistiqueIndex. décimale : 937.0 Résumé : Qu’est-ce qu’un empereur romain ? A quoi est due la fin de l’art antique ? Pourquoi des protestataires manifestaient-ils contre les dieux en cas de malheur ? Autant de questions parfois dérangeantes et toujours passionnantes que Paul Veyne développe avec passion dans ce qu’il avait, à l’origine, conçu comme une simple suite à La Société romaine. C’est devenu au fil du temps et des remaniements un livre autonome, où il ne tente rien moins que de donner une vision d’ensemble de ce qu’il appelle ''l’Empire gréco-romain''. Car l’Empire dit romain fut en réalité gréco-romain à au moins trois titres. D’abord par la langue. Certes, la langue véhiculaire qu’on pratiquait dans sa moitié occidentale était le latin, mais c’était le grec autour de la Méditerranée orientale et au Proche- Orient.
Ensuite, la culture matérielle et morale de Rome est issue d’un processus d’assimilation de cette civilisation hellénique qui, de ’Afghanistan au Maroc, était la culture ''mondiale'' du temps. Enfin, la culture y était hellénique et le pouvoir romain ;
c’est d’ailleurs pourquoi les Romains hellénisés ont pu continuer à se croire tout aussi romains qu’ils l’avaient toujours été. Paul Veyne part donc du principe que ce qui se passait de l'Ecosse à l’Euphrate a autant d’importance et d’intérêt pour comprendre ''Rome'' que ce qui se passait chez les Romains de Rome, et il tente suggérer, à coups d’aperçus partiels, une vision d’ensemble de l’Empire gréco-romain qui montre que la ''mondialisation'' actuelle devrait plutôt être appelée la ''seconde mondialisation'', puisque la première est précisément celle qui a produit cet Empire qui a dominé, pendant plus de 400 ans, une surface de terre ferme partagée aujourd’hui entre trente nations.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 70074621 SCI HIS 1 Livre Institut français (Rose-Hill) Sciences et société Prêt possible
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