Titre : |
Mort pour la France |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Latifa Ibn Ziaten, Auteur |
Editeur : |
Paris : Flammarion |
Année de publication : |
impr. 2013 |
Importance : |
1 vol. (268 p.) |
Présentation : |
couv. ill. en coul. |
Format : |
22 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-08-129612-1 |
Prix : |
18 EUR |
Note générale : |
La couv. porte en plus : "Mohamed Merah a tué mon fils" |
Langues : |
Français (fre) |
Index. décimale : |
363.3 |
Résumé : |
Le 11 mars 2012, à Toulouse, Imad Ibn Ziaten est abattu d’une balle dans la tête par Mohamed Merah. Deux jeunes de parents immigrés, l’un victime, l’autre bourreau, l’un engagé au service de la France, l’autre décidé à y semer la terreur. C’est ce paradoxe qui, après la mort de son fils, interpelle Latifa Ibn Ziaten. À travers son installation en France, l’éducation donnée à son fils, Latifa nous livre la chronique de l’immigration et de l’intégration, avec toutes les questions qu’elle suppose : comment faire de ses enfants des Français à part entière sans rompre avec ses origines ? Comment pratiquer sa religion sans porter atteinte à la laïcité ? Comment continuer à « construire » dans un pays où le sang de sa progéniture a coulé ? Elle a refusé de baisser les bras et choisi de prendre revanche de la plus noble manière. |
Mort pour la France [texte imprimé] / Latifa Ibn Ziaten, Auteur . - Paris : Flammarion, impr. 2013 . - 1 vol. (268 p.) : couv. ill. en coul. ; 22 cm. ISBN : 978-2-08-129612-1 : 18 EUR La couv. porte en plus : "Mohamed Merah a tué mon fils" Langues : Français ( fre)
Index. décimale : |
363.3 |
Résumé : |
Le 11 mars 2012, à Toulouse, Imad Ibn Ziaten est abattu d’une balle dans la tête par Mohamed Merah. Deux jeunes de parents immigrés, l’un victime, l’autre bourreau, l’un engagé au service de la France, l’autre décidé à y semer la terreur. C’est ce paradoxe qui, après la mort de son fils, interpelle Latifa Ibn Ziaten. À travers son installation en France, l’éducation donnée à son fils, Latifa nous livre la chronique de l’immigration et de l’intégration, avec toutes les questions qu’elle suppose : comment faire de ses enfants des Français à part entière sans rompre avec ses origines ? Comment pratiquer sa religion sans porter atteinte à la laïcité ? Comment continuer à « construire » dans un pays où le sang de sa progéniture a coulé ? Elle a refusé de baisser les bras et choisi de prendre revanche de la plus noble manière. |
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