Titre : |
Chanson pour septembre : roman |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Isabelle Lortholary (1967-....), Auteur |
Editeur : |
[Paris] : Gallimard |
Année de publication : |
impr. 2014 |
Importance : |
1 vol. (250 p.) |
Format : |
21 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-07-014401-3 |
Prix : |
19,50 EUR |
Langues : |
Français (fre) |
Index. décimale : |
803 |
Résumé : |
«Et c’est ainsi que nous trinquons, vingt ans après les événements : quatre filles au pied d’une falaise et nos mères à présent enterrées dans le cimetière à côté. — L’été 1975, c’était celui du géologue et des deux Anglaises disparues, c’est ça? — C’est l’été où j’ai perdu ma virginité, dit Diane d’un air narquois. Avec un motard d’un genre… très motard. — Ah bon! s’écrient en chœur Anna et Sacha. — Le motard, reprend Sacha, ne me dis pas que c’était le fils de la boulangère? Comment il s’appelait déjà? — RODOLPHE! hurle Anna en tapant dans ses mains. Ainsi parlons-nous pendant une heure ou deux, sans prendre garde au soleil qui disparaît, sans souci du bruit que nous faisons en nous esclaffant. C’est-à-dire sans peur des qu’en-dira-t-on au village : ne sont-elles pas trop gaies, ces filles qui enterrent leur mère?» |
Chanson pour septembre : roman [texte imprimé] / Isabelle Lortholary (1967-....), Auteur . - [Paris] : Gallimard, impr. 2014 . - 1 vol. (250 p.) ; 21 cm. ISBN : 978-2-07-014401-3 : 19,50 EUR Langues : Français ( fre)
Index. décimale : |
803 |
Résumé : |
«Et c’est ainsi que nous trinquons, vingt ans après les événements : quatre filles au pied d’une falaise et nos mères à présent enterrées dans le cimetière à côté. — L’été 1975, c’était celui du géologue et des deux Anglaises disparues, c’est ça? — C’est l’été où j’ai perdu ma virginité, dit Diane d’un air narquois. Avec un motard d’un genre… très motard. — Ah bon! s’écrient en chœur Anna et Sacha. — Le motard, reprend Sacha, ne me dis pas que c’était le fils de la boulangère? Comment il s’appelait déjà? — RODOLPHE! hurle Anna en tapant dans ses mains. Ainsi parlons-nous pendant une heure ou deux, sans prendre garde au soleil qui disparaît, sans souci du bruit que nous faisons en nous esclaffant. C’est-à-dire sans peur des qu’en-dira-t-on au village : ne sont-elles pas trop gaies, ces filles qui enterrent leur mère?» |
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