| Titre : |
homme prédateur (L') : ce que nous enseigne l'esclavage sur notre temps : |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Françoise Vergès, Auteur |
| Editeur : |
Paris : A. Michel |
| Année de publication : |
2011 |
| Collection : |
Bibliothèque Albin Michel |
| Sous-collection : |
Idées |
| Importance : |
220 p. |
| Format : |
19 cm |
| ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-226-20889-7 |
| Prix : |
18 EUR |
| Note générale : |
Bibliogr. p. 199-220. Webliogr., 1 p. |
| Langues : |
Français (fre) |
| Catégories : |
Esclavage
|
| Index. décimale : |
326 |
| Résumé : |
Le 21 mai 2001 fut publiée au Journal officiel la loi reconnaissant la raite négrière et l'esclavage comme '' crimes contre l'humanité ''. Françoise Vergès revient sur l'extraordinaire capacité de l'esclavage à s'adapter aux nouvelles technologies comme au progrès social et juridique. Hier, la prédation signifiait razzias, guerres, kidnapping ; aujourd'hui, guerres et enlèvements perdurent comme sources d'asservissement, auxquelles il convient d'ajouter la fabrication par la violence économique de vies vulnérables et fragiles. Il est temps d'étudier les politiques et les économies de prédation non comme des traces de l'arriération, mais comme des formes régulièrement réinventées, tout à fait compatibles avec l'existence de discours humanitaires et une économie du profit. |
homme prédateur (L') : ce que nous enseigne l'esclavage sur notre temps : [texte imprimé] / Françoise Vergès, Auteur . - Paris : A. Michel, 2011 . - 220 p. ; 19 cm. - ( Bibliothèque Albin Michel. Idées) . ISBN : 978-2-226-20889-7 : 18 EUR Bibliogr. p. 199-220. Webliogr., 1 p. Langues : Français ( fre)
| Catégories : |
Esclavage
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| Index. décimale : |
326 |
| Résumé : |
Le 21 mai 2001 fut publiée au Journal officiel la loi reconnaissant la raite négrière et l'esclavage comme '' crimes contre l'humanité ''. Françoise Vergès revient sur l'extraordinaire capacité de l'esclavage à s'adapter aux nouvelles technologies comme au progrès social et juridique. Hier, la prédation signifiait razzias, guerres, kidnapping ; aujourd'hui, guerres et enlèvements perdurent comme sources d'asservissement, auxquelles il convient d'ajouter la fabrication par la violence économique de vies vulnérables et fragiles. Il est temps d'étudier les politiques et les économies de prédation non comme des traces de l'arriération, mais comme des formes régulièrement réinventées, tout à fait compatibles avec l'existence de discours humanitaires et une économie du profit. |
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