Titre :	Un début de mois difficile : itinéraire d'une maman braqueuse : témoignage
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Rose-Anne Vicari (1959-....), Auteur
Editeur :	Paris : J'ai lu
Année de publication :	2012
Collection :	J'ai lu, ISSN 0291-3623 num. 10176
Importance :	152 p.
Présentation :	couv. ill. en coul.
Format :	18 cm
ISBN/ISSN/EAN :	978-2-290-03819-2
Prix :	5,60 €
Langues :	Français (fre)
Catégories :	Pauvreté -- Récits personnels -- France -- 1970-....
Index. décimale :	305.5
Résumé :	Rose-Anne Vicari, cinquante ans, vit seule avec deux enfants à charge. Harcelée par son chef de service, elle tombe en dépression et la situation de son foyer se dégrade peu à peu. C'est l'escalade : piles de factures, crédits revolving, découverts bancaires, dépenses désespérées, etc. Le 8 décembre 2009, Rose-Anne reçoit un avis d'expulsion pour loyers impayés. Quelques heures plus tard, elle braque maladroitement sa buraliste avec un pistolet d'alarme pour l'obliger à lui prêter de l'argent... Ce cas n'est pas une exception. Plus qu'un fait divers, il reflète une époque où un Français sur deux a peur de devenir SDF.

Un début de mois difficile : itinéraire d'une maman braqueuse : témoignage [texte imprimé] / Rose-Anne Vicari (1959-....), Auteur . - Paris : J'ai lu, 2012 . - 152 p. : couv. ill. en coul. ; 18 cm. - (J'ai lu, ISSN 0291-3623; 10176) .
ISBN : 978-2-290-03819-2 : 5,60 €
Langues : Français (fre)

Catégories :	Pauvreté -- Récits personnels -- France -- 1970-....
Index. décimale :	305.5
Résumé :	Rose-Anne Vicari, cinquante ans, vit seule avec deux enfants à charge. Harcelée par son chef de service, elle tombe en dépression et la situation de son foyer se dégrade peu à peu. C'est l'escalade : piles de factures, crédits revolving, découverts bancaires, dépenses désespérées, etc. Le 8 décembre 2009, Rose-Anne reçoit un avis d'expulsion pour loyers impayés. Quelques heures plus tard, elle braque maladroitement sa buraliste avec un pistolet d'alarme pour l'obliger à lui prêter de l'argent... Ce cas n'est pas une exception. Plus qu'un fait divers, il reflète une époque où un Français sur deux a peur de devenir SDF.