| Titre : |
Franz Stangl et moi |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Dominique Sigaud-Rouff (1959-....), Auteur |
| Editeur : |
Paris : Stock |
| Année de publication : |
2011 |
| Importance : |
219 p. |
| Format : |
22 cm |
| ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-234-07009-7 |
| Prix : |
18 EUR |
| Langues : |
Français (fre) |
| Mots-clés : |
Gestapo Seconde Guerre mondiale Nazis Jugement |
| Index. décimale : |
843 |
| Résumé : |
''Au début il y aurait eu cet homme, Franz Stangl, né en Autriche en mars 1908, bon professionnel de la police autrichienne, embauché par l'Histoire dans la Gestapo, rapidement monté en grade, d'abord surintendant, puis lieutenant à l'hôpital du programme T4 d'extermination, puis commandant de Sobidor et de Treblinka en 1942. Sa dernière promotion. De là, l'Italie, la défaite, la fuite, le faux nom et l'installation au Brésil. De longues et belles années jusqu'à l'arrestation en 1967, l'extradition en Allemagne, le procès, la condamnation à perpétuité, puis l'appel. Au début du récit, il y aurait pourtant cette phrase prononcée la veille de sa mort, ''je n'ai plus d'espoir'', presque une phrase finale, précédée d'un ''à présent j'ai tout dit pour la première fois...'' |
Franz Stangl et moi [texte imprimé] / Dominique Sigaud-Rouff (1959-....), Auteur . - Paris : Stock, 2011 . - 219 p. ; 22 cm. ISBN : 978-2-234-07009-7 : 18 EUR Langues : Français ( fre)
| Mots-clés : |
Gestapo Seconde Guerre mondiale Nazis Jugement |
| Index. décimale : |
843 |
| Résumé : |
''Au début il y aurait eu cet homme, Franz Stangl, né en Autriche en mars 1908, bon professionnel de la police autrichienne, embauché par l'Histoire dans la Gestapo, rapidement monté en grade, d'abord surintendant, puis lieutenant à l'hôpital du programme T4 d'extermination, puis commandant de Sobidor et de Treblinka en 1942. Sa dernière promotion. De là, l'Italie, la défaite, la fuite, le faux nom et l'installation au Brésil. De longues et belles années jusqu'à l'arrestation en 1967, l'extradition en Allemagne, le procès, la condamnation à perpétuité, puis l'appel. Au début du récit, il y aurait pourtant cette phrase prononcée la veille de sa mort, ''je n'ai plus d'espoir'', presque une phrase finale, précédée d'un ''à présent j'ai tout dit pour la première fois...'' |
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