| Titre : |
sécurité sociale (La) : une institution de la démocratie |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Colette Bec, Auteur |
| Editeur : |
[Paris] : Gallimard |
| Année de publication : |
2014 |
| Collection : |
Bibliothèque des sciences humaines |
| Importance : |
328 p. |
| Format : |
23 cm |
| ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-07-014336-8 |
| Prix : |
23 EUR |
| Note générale : |
Bibliogr. p. 307-326 |
| Langues : |
Français (fre) |
| Catégories : |
France--- Politique sociale--- Histoire
Sécurité sociale
Sécurité sociale--- France--- Histoire
|
| Index. décimale : |
368.4 |
| Résumé : |
Dans le projet de l'immédiat après-guerre, la Sécurité sociale était envisagée connue une politique de protection globale. Elle était conçue comme le socle de la solidarité et relevait de choix collectifs engageant le destin commun et l'organisation d'une société juste. En ce sens, elle se distinguait radicalement des assurances sociales limitées à la protection des salariés. Pour ses concepteurs, la Sécurité sociale constituait une institution de la démocratie à venir, une démocratie capable d'aménager un cadre permettant l'émancipation individuelle.
En interrogeant ce projet, Colette Bec établit que la crise de la Sécurité sociale est en fait celle d'un mode d'appartenance que le système de protection a contribué à élaborer et qu'il participe désormais à déconstruire. Elle montre à quel point cette ambition vaut toujours dans le contexte actuel, qu'une approche technicienne et budgétaire rend en grande partie inintelligible. |
sécurité sociale (La) : une institution de la démocratie [texte imprimé] / Colette Bec, Auteur . - [Paris] : Gallimard, 2014 . - 328 p. ; 23 cm. - ( Bibliothèque des sciences humaines) . ISBN : 978-2-07-014336-8 : 23 EUR Bibliogr. p. 307-326 Langues : Français ( fre)
| Catégories : |
France--- Politique sociale--- Histoire
Sécurité sociale
Sécurité sociale--- France--- Histoire
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| Index. décimale : |
368.4 |
| Résumé : |
Dans le projet de l'immédiat après-guerre, la Sécurité sociale était envisagée connue une politique de protection globale. Elle était conçue comme le socle de la solidarité et relevait de choix collectifs engageant le destin commun et l'organisation d'une société juste. En ce sens, elle se distinguait radicalement des assurances sociales limitées à la protection des salariés. Pour ses concepteurs, la Sécurité sociale constituait une institution de la démocratie à venir, une démocratie capable d'aménager un cadre permettant l'émancipation individuelle.
En interrogeant ce projet, Colette Bec établit que la crise de la Sécurité sociale est en fait celle d'un mode d'appartenance que le système de protection a contribué à élaborer et qu'il participe désormais à déconstruire. Elle montre à quel point cette ambition vaut toujours dans le contexte actuel, qu'une approche technicienne et budgétaire rend en grande partie inintelligible. |
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