Espérer, au sens chrétien du terme, c’est toujours croire à l’impossible. C’est le refus de prendre le présent comme définitif. Quand l’espérance chrétienne rencontre l’espérance des Créoles, elle leur donne la possibilité de persévérer jusqu’à la fin. Cette rencontre débouche sur une nouvelle espérance qu’est l’espérance créole. Cette espérance se transforme en refus de rester prisonnier du passé. Elle permet une ouverture vers l’avenir. C’est ce que cet ouvrage propose aux Créoles. La publication est destinée principalement aux laïcs engagés dans les structures de l’Eglise, et plus largement, aux militants de la « cause créole ». Elle tente de comprendre et à cerner l’apport de la dimension chrétienne dans la « cause créole» La réflexion s’articule autour de la thématique de l’espérance chrétienne et de l’espérance créole.

Espérer, au sens chrétien du terme, c’est toujours croire à l’impossible. C’est le refus de prendre le présent comme définitif. Quand l’espérance chrétienne rencontre l’espérance des Créoles, elle leur donne la possibilité de persévérer jusqu’à la fin. Cette rencontre débouche sur une nouvelle espérance qu’est l’espérance créole. Cette espérance se transforme en refus de rester prisonnier du passé. Elle permet une ouverture vers l’avenir. C’est ce que cet ouvrage propose aux Créoles. La publication est destinée principalement aux laïcs engagés dans les structures de l’Eglise, et plus largement, aux militants de la « cause créole ». Elle tente de comprendre et à cerner l’apport de la dimension chrétienne dans la « cause créole» La réflexion s’articule autour de la thématique de l’espérance chrétienne et de l’espérance créole.