Titre : |
Chair Corail : Fragments Coolies : |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Khal Torabully |
Editeur : |
Petit-Bourg : Ibis rouge |
Année de publication : |
1999 |
Importance : |
125 p. |
Format : |
22 x 14 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-84450-060-1 |
Prix : |
11,43 Euros |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Littérature -- Île Maurice Littérature -- océan Indien
|
Index. décimale : |
841 |
Résumé : |
De l'île Maurice, nous vient, par-delà deux océans, la Mer ténébreuse qu'un jour franchirent Colomb et sa meute puis l'Océan Indien et son indicible bléuité, la première poésie de la Créolité. Certes, il y avait eu les délicieux petits poèmes de Patrick Chamoiseau dans ''Antan d'enfance'' et surtout l'étonnant ''Babil du Songer'' d'Ernest Pépin mais rien qui atteigne la souveraine précision des textes de Khal Torabully. Khal pénètre au coeur des distilleries, dans les allées des plantations, flâne au gré des marchés odorants d'épices pour tenter de découvrir derrière le subtil du rhum, par-delà l'enivrement du clou de girofle ou du bâton de cacao, ce qui fait l'empreinte même, l'empreinte indélébile de notre ''être-au-monde'', de notre existence créole née d'un vaste chahut de toutes les cultures de la terre. |
Chair Corail : Fragments Coolies : [texte imprimé] / Khal Torabully . - Petit-Bourg : Ibis rouge, 1999 . - 125 p. ; 22 x 14 cm. ISBN : 978-2-84450-060-1 : 11,43 Euros Langues : Français ( fre)
Catégories : |
Littérature -- Île Maurice Littérature -- océan Indien
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Index. décimale : |
841 |
Résumé : |
De l'île Maurice, nous vient, par-delà deux océans, la Mer ténébreuse qu'un jour franchirent Colomb et sa meute puis l'Océan Indien et son indicible bléuité, la première poésie de la Créolité. Certes, il y avait eu les délicieux petits poèmes de Patrick Chamoiseau dans ''Antan d'enfance'' et surtout l'étonnant ''Babil du Songer'' d'Ernest Pépin mais rien qui atteigne la souveraine précision des textes de Khal Torabully. Khal pénètre au coeur des distilleries, dans les allées des plantations, flâne au gré des marchés odorants d'épices pour tenter de découvrir derrière le subtil du rhum, par-delà l'enivrement du clou de girofle ou du bâton de cacao, ce qui fait l'empreinte même, l'empreinte indélébile de notre ''être-au-monde'', de notre existence créole née d'un vaste chahut de toutes les cultures de la terre. |
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