Titre : |
Je, François Villon |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Jean Teulé (1953-....), Auteur |
Editeur : |
Paris : Julliard |
Année de publication : |
2006 |
Importance : |
415 p. |
Format : |
21 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-260-01683-0 |
Prix : |
20 EUR |
Note générale : |
Bibliogr., 1 p. |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Poésie |
Index. décimale : |
843 |
Résumé : |
Il est peut-être né le jour de la mort de Jeanne d'Arc. On a pendu son père et supplicé sa mère. Il a appris le grec et le latin à l'université de Paris. Il a joui, menti, volé dès son plus jeune âge. Il a fréquenté les miséreux et les nantis, les étudiants, les curés, les prostituées, les assassins, les poètes et les rois. Aucun sentiment humain ne lui était étranger. Des plus sublimes aux plus atroces, il a commis tous les actes qu'un homme peut commettre. Il a traversé comme un météore trente années de l'histoire de son temps et a disparu un matin sur la route d'Orléans. Il a donné au monde des poèmes puissants et mystérieux, et ouvert cette voie somptueuse qu'emprunteront à sa suite tous les autres poètes : l'absolue liberté. |
Je, François Villon [texte imprimé] / Jean Teulé (1953-....), Auteur . - Paris : Julliard, 2006 . - 415 p. ; 21 cm. ISBN : 978-2-260-01683-0 : 20 EUR Bibliogr., 1 p. Langues : Français ( fre)
Mots-clés : |
Poésie |
Index. décimale : |
843 |
Résumé : |
Il est peut-être né le jour de la mort de Jeanne d'Arc. On a pendu son père et supplicé sa mère. Il a appris le grec et le latin à l'université de Paris. Il a joui, menti, volé dès son plus jeune âge. Il a fréquenté les miséreux et les nantis, les étudiants, les curés, les prostituées, les assassins, les poètes et les rois. Aucun sentiment humain ne lui était étranger. Des plus sublimes aux plus atroces, il a commis tous les actes qu'un homme peut commettre. Il a traversé comme un météore trente années de l'histoire de son temps et a disparu un matin sur la route d'Orléans. Il a donné au monde des poèmes puissants et mystérieux, et ouvert cette voie somptueuse qu'emprunteront à sa suite tous les autres poètes : l'absolue liberté. |
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