Titre : |
Mémoires d'un chasseur |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Ivan Sergeevic Turgenev (1818-1883), Auteur ; Henri Mongault, Traducteur |
Editeur : |
Paris : Gallimard |
Année de publication : |
2010 |
Collection : |
Folio classique num. 1264 |
Importance : |
635 p. |
Format : |
18 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-07-037264-5 |
Index. décimale : |
823 |
Résumé : |
Vous partez pour une lointaine partie de chasse en pleine steppe. Après dix verstes de mauvais chemins de traverse, voici enfin la grande route. On laisse derrière soi des auberges avec leurs puits, leurs portails grands ouverts, leurs samovars qui pétillent sous l'auvent ; on traverse un village, puis un autre, des champs à perte de vue, de vertes chenevières ; et longtemps, longtemps vous roulez ainsi. En avant ! En avant ! La steppe est proche. Quelle vision du haut de cette côte ! De blanches églises apparaissent ; au loin, dans la plaine, les outardes se suivent à la queue leu leu ; un vieux manoir, avec ses communs, sa grange, son verger, se blottit contre un étang minuscule. Les arbres se font rares. La voici enfin la steppe, la steppe immense et sans limites!... |
Mémoires d'un chasseur [texte imprimé] / Ivan Sergeevic Turgenev (1818-1883), Auteur ; Henri Mongault, Traducteur . - Paris : Gallimard, 2010 . - 635 p. ; 18 cm. - ( Folio classique; 1264) . ISBN : 978-2-07-037264-5
Index. décimale : |
823 |
Résumé : |
Vous partez pour une lointaine partie de chasse en pleine steppe. Après dix verstes de mauvais chemins de traverse, voici enfin la grande route. On laisse derrière soi des auberges avec leurs puits, leurs portails grands ouverts, leurs samovars qui pétillent sous l'auvent ; on traverse un village, puis un autre, des champs à perte de vue, de vertes chenevières ; et longtemps, longtemps vous roulez ainsi. En avant ! En avant ! La steppe est proche. Quelle vision du haut de cette côte ! De blanches églises apparaissent ; au loin, dans la plaine, les outardes se suivent à la queue leu leu ; un vieux manoir, avec ses communs, sa grange, son verger, se blottit contre un étang minuscule. Les arbres se font rares. La voici enfin la steppe, la steppe immense et sans limites!... |
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