Titre : |
Le chaud et le froid |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Ernest Hemingway, Auteur |
Editeur : |
Gallimard |
Année de publication : |
1995 |
Importance : |
196 pages |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-07-074267-7 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
Hemingway n'a pas dit son dernier mot. Un poème, sept nouvelles, un post-scriptum soufflant " le chaud et le froid " composent ce recueil. Ecrits entre 1926 et 1959, ces textes témoignent de l'imperturbable concentration d'Hemingway. Le sang dans les bottes d' " Un voyage en train ", les électrochocs de " Bonne nouvelle du continent ", les bombardements de " Paysage avec silhouettes ", les meurtres, les divorces, les rivalités, les déceptions n'y font rien : l'écrivain retrouve chaque nuit la page de la nouvelle en train de s'écrire. " Il n'y a pas de variation de la nuit ", dit le poème " Intelligence critique ", expression qu'il faut comprendre : " loin de la critique et près de l'intelligence ", cette complicité secrète entre des êtres que les circonstances placent dans des camps opposés. C'est à cette lueur particulière - qui s'écoute autant qu'elle se voit - qu'il faut lire ce poème, ces nouvelles, ce post-scriptum où le talent d'Hemingway prend, tour à tour, les masques de la lucidité, du mensonge, de l'ardeur jouisseuse et de la sérénité guerrière, de la piété paternelle et de l'autorité filiale, de la trahison et de la passion, du véritable coupable et du faux innocent. |
Le chaud et le froid [texte imprimé] / Ernest Hemingway, Auteur . - Gallimard, 1995 . - 196 pages. ISBN : 978-2-07-074267-7 Langues : Français ( fre)
Résumé : |
Hemingway n'a pas dit son dernier mot. Un poème, sept nouvelles, un post-scriptum soufflant " le chaud et le froid " composent ce recueil. Ecrits entre 1926 et 1959, ces textes témoignent de l'imperturbable concentration d'Hemingway. Le sang dans les bottes d' " Un voyage en train ", les électrochocs de " Bonne nouvelle du continent ", les bombardements de " Paysage avec silhouettes ", les meurtres, les divorces, les rivalités, les déceptions n'y font rien : l'écrivain retrouve chaque nuit la page de la nouvelle en train de s'écrire. " Il n'y a pas de variation de la nuit ", dit le poème " Intelligence critique ", expression qu'il faut comprendre : " loin de la critique et près de l'intelligence ", cette complicité secrète entre des êtres que les circonstances placent dans des camps opposés. C'est à cette lueur particulière - qui s'écoute autant qu'elle se voit - qu'il faut lire ce poème, ces nouvelles, ce post-scriptum où le talent d'Hemingway prend, tour à tour, les masques de la lucidité, du mensonge, de l'ardeur jouisseuse et de la sérénité guerrière, de la piété paternelle et de l'autorité filiale, de la trahison et de la passion, du véritable coupable et du faux innocent. |
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